Le voyage du Bamboo Free

Je vous présente le Bamboo Free. Un catamaran de 20 mètre de long au gréement bermudien. La semaine dernière une rumeur courrait sur l’usine comme quoi les québécois organisaient une sortie en mer sur un catamaran. J’ai fait des recherches et j’ai trouvé à qui parler pour avoir une place a bord. On à commencer la journée a 7h sous un soleil de plomb (comme pas mal toujours). On était vingt-quatre québécois plus le capitaine et sa femme. Comme équipement de secoure nous avions apporté quatre glacière et six vingt-quatre de Number One (la bière locale). La journée allais se passer comme suit : direction l’épave du Ever Prosperity pour aller faire de la plonger ensuite on lève l’ancre pour aller a l’ilot l’Arégnère pour la baignade et marcher un peu sur l’ilot et ensuite retour vers Nouméa

Sur la photo vous pouvez voir notre approche de l’épave de l’Ever Prosperity à la limite du lagon. On peu voir la ligne de vague qui se brise sur la barrière de corail. La femme du capitaine est en position de guet, à la recherche de "patate" de corail. Une grosse boule isolée de corail qui risquerait de fendre une des coques du voilier si on la frappait. Ce n’est pas tellement ardu comme job parce que l’eau est extrêmement claire et que le fond est à peu près à dix mètre. Je me suis toujours dis que les photos de carte postale doivent être retouché quand ca vient a la couleur de la mer mais la j’ai vu de mes yeux vu l’eau la plus turquoise que même une carte postal a l’air pale par comparaison.

Sur cette photo vous pouvez voir à quelle distance de l’Ever Prosperity on a jeté l’ancre. Et puis nous aussi on s’est jeter a l’eau pour faire de la plonger. Il y avait des tonnes de poisson de toute les formes et de toute les couleurs (prismacolor ont rien inventé en matière de diversité des couleurs). En plus il y avait des tortues marines et des requins à pointe noire!

Une petite photo de l’ilot Arégnère. Comme vous pouvez voir le ciel se couvre. Il va y avoir de la pluie et le vent du large se lève. Ca risque d’être intéressent mais pour l’instant il y a la baignade. Avec masque, tuba et palme bien sur. Pour mieux jouer avec les poissons qui sont toujours au rendez-vous. Il y a des coquillages partout. En fait la plage est fait de coquillage broyer! Je me suis ramasser quelque "sand dollar" mais j’en ai vu de la grosseur d’une assiette a dessert! On regagne le Bamboo Free en zodiac. Le vent commence à être sérieux. Je m’excuse il n’y a pas de photos pour ce bout du trajet. J’ai choisi de rester sur le pont et d’aider avec les cordages. En effet j’ai joué au matelot! J’ai eu comme charge le grand foc genoa. C’étais a moi de le serrer ou de-serrer selon ce que le capitaine criais. Et de changer l’écoute de winch quand venais le temps de changer de cap. En vitesse de pointe on a du faire 15 a 18 nœuds ce qui n’est pas mal du tout.

On a l’impression d’aller plus vite que le vent ce qui est ridicule mais c’est une sensation incroyable se faire transporter a toute allure sans bruits de moteur. Les vagues qui brisent sur la proue, la pluie comme des aiguilles, les voiles qui claquent quand on change de cap c’est à se demander si on n’a pas fait une erreur d’avoir oublié la voile comme mode de transport.

On arrive à la marina juste en temps pour le coucher du soleil qui, comme vous pouvez voir, est spectaculaire. Retour a l’hôtel bruler mais avec le sourire fendu jusqu’aux oreilles je vais faire dodo il est a peine 8h. Je vais rêver a l’horizon et a la mer, dessus, dedans je pense que j’ai la piqure ca risque de me couter cher.

Comme toujours il faut cliquer les photos pour les avoir pleine grandeur!